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 Le peuple libre et fier de l'être!

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Bakunin

Bakunin


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Date d'inscription : 18/11/2010
Localisation : Dans ton ***

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MessageSujet: Le peuple libre et fier de l'être!   Le peuple libre et fier de l'être! Icon_minitimeSam 18 Mai - 21:35


Bakunin


Informations RP

  • Nom du vaisseau colonial : Borderlands

  • Effectif de la flotte coloniale : 1 vaisseau Hordes

  • Religion ou Spiritualité Dominante :
    Druze (11%)
    Église adventiste du septième jour (3%)
    Wicca (10%)
    Bahaïsme(6%)
    Ásatrú (17%)
    Église de scientologie (12%)
    Caodaïsme (10%)
    Témoin de Jéhovah (8%)
    Église de Satan (13%)
    Judaïsme (9%)

  • Histoire du Pays :
    Dans la vie, il y a la majorité. Le plus gros d'un ensemble de population qui devient ainsi la norme et impose une direction à l'existence, dans une uniformisation voulue car considérée comme plus performante. Et puis il y a les autres. Ceux qui n'ont pas voulus se confondre dans l'ordre établi, suivre la masse, se laisser guider par la force du nombre. Ceux-là ont lutés contre vents et marrés, quels que soient leurs obstacles, car ils tenaient plus que tout à leur individualité, quitte à mourir pour elle. Et parfois, il arrive que ces insolites s'assemblent. Finissent par se trouver au hasard de leur existence et décident alors de mener un front commun pour pouvoir survivre, envers et contre tous les autres. C'est cette histoire que retrace la fondation de Bakunin.

    A l'origine vint un petit groupe d’énergumènes sauvages et impulsifs, des jeunes cherchant juste à faire ce qui leur chantait peu importe ce que leur sommait le gouvernement. Puis le temps passa et malgré leur vieillissement, ces individus-là surent garder le même état d'esprit frondeur et contestataire, ne cédant devant rien. Pourtant ils sentaient venir les prémices d'une norme encore plus forte que celle d'une population, la norme de la vie et de la mort. Mais quand on a passé sa vie entière à lutter contre la fatalité et l’écrasante supériorité d'une masse insondable, on est pas prêt à lâcher comme cela le morceau. Ainsi, de jeunes troubles-fêtes en vadrouilles, ces gens s’intéressèrent de plus en plus au moyen de prolonger leur existence. Pour cette cause, certains devinrent même des hommes de sciences plus que potables, même à leur façon très underground de voir leurs connaissances et surtout leurs applications. Galvanisés par une communauté qui se renouvelait sans cesse derrière eux, intégrant des parias d'où qu'ils soient, du moment qu'ils veuillent bien mener une vie de transgressions avec eux, les plus intelligents du lot trouvèrent ce qui leur semblait le plus être une issue dans leur combat contre la mort. La cybernétisation recelait déjà un formidable potentiel, qui ne demandait qu'à être exploité par des gens assez dénués de scrupules et de conventions pour tenter l'aventure. Cette première génération finit pourtant par s'éteindre, à leur grand regret, des insultes pleins les lèvres au moment de finir par céder contre cette oppressante autorité de la vie, mais pas avant d'avoir conçus leurs premiers modèles plus ou moins fiables d'humains en parti robotisés. D'autant que ces précurseurs n'avaient pas bêtement laissés leur projet en plan et en avaient confiés la pérennité à d'autres, pour qu'au moins leurs successeurs puissent réussir là où ils n'avaient pas encore pu réussir.

    Ce groupement de parias était devenu entre-temps comme une véritable mini-société, rassemblant des marginaux de toutes sortes d'endroits, réussissant à vivre en plus ou moins bonne entente avec les autres de par leur hostilité bien trop grande pour le reste du monde. Quand on se sait menacé d'être gobé par quelque chose de bien plus gros que soit, on a tendance à se serrer les coudes. Ainsi plus d'efforts encore furent mis dans les recherches scientifiques, avec un nombre décuplés de gens pour s'y atteler corps et âmes. Le résultat ne se fit pas attendre. Quand on lâche un tas de minorités avec beaucoup d'idées, pas mal de désespoir et plus aucunes craintes, on finit toujours par avoir des résultats. Et les dégâts collatéraux sont vite oubliés au profil de l'histoire.

    C'est ainsi que cette société souterraine finit par développer les premiers modèles plus ou moins stables de cyborgs. Beaucoup étaient devenus en cours de route des individus imparfaits, ayant leur durée de vie raccourcie et des greffons cybernétiques pas vraiment heureux, mais ils furent le glorieux sacrifice qui permit l'aboutissement de sujets sains et perfectionnés. Aux anges devant cette réussite après laquelle avait courue leurs prédécesseurs, les gens de Bakunin se lancèrent alors sans plus attendre dans ce nouveau domaine ampli de possibilités innombrables. Et ils le firent avec leur habituelle exubérance et manque de retenue. Des individus d'un genre nouveau eurent tôt fait de peupler désormais l'underground, mi-humains mi-machines, mais jamais l'un pareil à l'autre, suivant la fantasy de chacun au moment de recevoir ses modifications corporelles. La rumeur comme quo on pouvait trouver de tout dans cette société de l'ombre ne fut jamais aussi vrai depuis ce moment, tant tout était désormais permis questions excentricités. Ces hommes avaient désormais atteint comme leur valhalla terrestre, et étaient bine décidés à en profiter le plus possible. A ce moment là, toute cette organisation de parias et de rejetés aurait pu voler en éclats devant la montagne d’excès qu'elle s’apprêtait à gravir, si un nouveau danger n'était pas survenu pour l'aider à se juguler.

    L'arrivée des xenos fut comme un douche froide pour le petit monde en pleine félicité de Bakunin. Alors qu'une potentielle éternité s'ouvrait enfin à eux, voilà que surgissait une entité pour la leur dérober, par ravages et destructions. L'humanité, fut-elle en partie cybernetique, se trouvait désormais devant un danger plus grave encore que la simple mort naturelle, un danger qu'elle n'arrivait pas à réguler. Pour autant, il en aurait fallu plus pour décourager les laissés pour compte de la société. Ils se lancèrent ainsi de leur coté dans le conflit naissant, persuadés que leurs façons de voir et de faire nouvelles saurait bien triompher là où la sclérose de l'humanité ordinaire ne pouvait qu'échouer. Et si leurs premiers impacts dans la guerre auraient pu leur donner raison, tant leurs façon de faire toutes sauf orthodoxes n'avaient rien à voir avec celles de leurs dissemblables, ils finirent par échouer comme les autres. Bon, pour leur consolation, l'humanité ordinaire ne sen tira pas plus brillamment. Néanmoins, Bakunin se trouvait désormais devant un mal qui semblait encore plus dur à endiguer que leur ennemi habituel, surtout vu à la vitesse à laquelle semblait se propager ce mal. Mais les parias ne sont pas des gens à abandonner devant le premier échec. Leur vie entière était une lutte dés le départ, et ils étaient bien décidés à poursuivre cette dernière jusqu'au bout. Après tout, n'avaient-ils pas déjà fait un grand pas en avant dans leur conflit contre la mort ? Il leur avait juste fallu un peu de temps et ils «étaient bien parvenus à des résultats, eux que toute autre morale et logique n’arrêterait pas. Il leur fallait donc juste à nouveau du temps pour pouvoir faire face à ce problème. Retarder l’échéance jusqu'au trouver une solution viable. Et c'est du coup dans l'exil qu'ils trouvèrent leur rallonge de salut.

    Mobilisant toutes leurs forces à la construction d'un vaisseau suffisamment gigantesque pour accueillir toute leur population, certes limitée mais fort remuante. Ne s'occupant plus désormais des combats, ils purent ainsi avancer suffisamment vite sur leur projet, étant donné l'efficacité dont pouvait faire preuve ce peuple de rebuts une fois suffisamment motivés. Bon, comme d'habitude il y eut beaucoup de casse à coté mais après tout, une planète que l'on compte quitter peut bien être complètement dévastée au passage pour le prix de l'efficacité, non? C'est du coup sur un vaisseau flambant neuf que le peuple de Bakunin embarqua finalement pour l'espace et le trou noir qui recelait le plus de chance de mettre la distance suffisante entre eux et les xenos. Bien décidés à ne plus désormais dépendre d'une terre fixe pour ne plus être à nouveau une victime d'un tel mal, il fut ainsi décidé que où qu'ils se rendent, les gens de Bakunin resteraient désormais un peuple de l'espace, car là était la solution d'avenir pour leur humanité. Après tout, que les autres normaux restent sur leur plancher des vache,s eux avaient de plus belles aspirations. Et une guerre spatio-temporelle à mener...


Informations statistiques


  • Population : 300 000 emmerdeurs professionnels
  • Technique Economique : 0,4
  • Technique Administrative : 1
  • Technique Culturelle : 0,1
  • Technique Scientifique : 5
  • Technique Militaire : 0,5

Autres données :

  • Type de Civilisation : Fouteurs de merde à tendance scientifique

  • Parrain : République d'Arcania


Dernière édition par Bakunin le Jeu 6 Juin - 8:09, édité 3 fois
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Fate
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Fate


Messages : 1728
Date d'inscription : 21/10/2010

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MessageSujet: Re: Le peuple libre et fier de l'être!   Le peuple libre et fier de l'être! Icon_minitimeMer 5 Juin - 21:39

Validé.

Au sujet du parrainage : Toi et la République d'Arcania recevrez une somme égale à une fois vos revenus annuels à ce moment là en guise de cadeau sous réserve que tu sois toujours présent parmi nous au 21 juin 2013 !

Bienvenue pour le reste.

En ce qui concerne les règles nomades, comme nous l'avions convenu, tu auras une situation de sujet test en ce domaine, avant que je ne les généralise, ou pas. Pour l'heure, la seule règle appliquée est la suivante : chacun des vaisseaux horde d'une flotte Nomade peut abriter 1 Million de personne. Il coûte un entretien mensuel en argent égal à son niveau de développement multiplié par 3.
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